mardi 22 juillet 2008 au Cabaret Sauvage Manolito+Elito Reve Elito Revé y su charangon Elito Reve « El Charangon d’Elio Revé » est l’un des orchestres les plus importants de l’histoire de la musique cubaine moderne. Fondé en 1956 par Elio Revé père, cet orchestre précurseur réinventa la Charanga à la fin des années 50 en y intégrant le Changüi, musique rurale originaire de Guantanamo. Son fils, Elio Revé Junior (appelé aussi « Elito »), prend la direction du Charangon en 1997 et intègre les éléments de la Timba sans perdre l’identité du groupe. « Le Charangon d’Elito Revé », devenu l’une des formations les plus populaires de Cuba, sera en tournée européenne cet été pour présenter leur nouvel album très remarqué intitulé « Fresquecito » (2008). Manolito y su trabuco Manolito Formation de 16 musiciens en rangs serrés, le « trabuco » de Manolito est l’un des orchestres de Timba les plus populaires de Cuba que tous les fans recommandent de voir en live : « l’un des ensembles les plus puissants de la planète ! » Fondé en 1993 par le pianiste Manuel Simonet, ancien directeur de Las Maravillas de Florida, cet orchestre novateur, basé sur la formation traditionnelle des orchestres de Charanga, fait danser depuis 15 ans les salseros du monde entier. « Manolito y su trabuco » sera en tournée européenne cet été pour présenter leur dernier album intitulé « La Havana me llama » (2008). Tarifs : Fnac, Digitk, Ticknet : 33.30 € 200 places en prévente à 30€ à retirer au bureau d'Odduara Cabaret Sauvage, Parc de la Villette 211 avenue Jean Jaurès - 75019 Paris Infoline : 08 72 76 60 77 www.odduara.com FESTIVAL D'ILE DE FRANCE 2008 Festival ile de france Cette année le fil rouge de l’édition est « Les Finistères… ». La notion de finistères ou terres des bouts du monde est forcément relative. La terre étant ronde, elle ne « finit » jamais ! Nous traiterons donc de ces lieux géographiquement éloignés de notre pays, la France, qui font ou ont fait rêver les occidentaux à toutes les époques modernes (du XVIIè au XXIè siècle). Nous aborderons ces terres lointaines où sont nées des civilisations faites de rencontres et de fusions culturelles de l’Océan indien aux Caraïbes, des terres celtes, baltes… au Sud de l’Afrique. Terres d’accueil de populations exilées comme les esclaves noirs, les premiers colons, les marchands des comptoirs orientaux ou des mers froides, terres promises pour les juifs et les apatrides, îles, côtes ou vallées perdues qui ont parfois des parfums de paradis…, « Les Finistères… » nous interrogera aussi sur l’identité créole. Avant la suite de notre voyage où seront présents tous les répertoires de la musique ancienne née sur des routes de pèlerinages ou pendant les croisades, à la création contemporaine, des musiques du monde au jazz et l’électronique, entendus et composés dans une vingtaine de pays. Charlotte Latigrat, directrice 5 et 6 septembre 2008 à 20h30 au Theatre du Trianon (Paris 18e) CUBA SON ! Vendredi 5 septembre : DES MONTAGNES A SANTIAGO DE CUBA Changüi de Guantanamo & Familia Varela Miranda Samedi 6 septembre : DE SANTIAGO DE CUBA A LA HAVANE Eliades Ochoa y Cuarteto Patria & Septeto Nacional Ignacio Pineiro Fiesta cubana La musique est avec le cigare la richesse la plus connue de Cuba et la plus exportée. C’est le fameux « Son cubano » venu de l’est de l’île. Longtemps cœur de l’identité insulaire, la région de l’Oriente et sa capitale historique Santiago éloignée de plus de mille kilomètres de La Havane, a conservé ses traditions musicales. Nées de lointains héritages indiens, influencées par les Espagnols, les esclaves africains et au XVIIIe siècle par les Français chassés de Haïti, les musiques populaires de l’Oriente ont façonné les fêtes et les nuits cubaines. Ces deux soirées vont remonter aux sources. Rurales avec le Changuii et le Nengon, musique de fête et de danse jouée à l’occasion de Noël ou d’évènements familiaux dans les montagnes au nord de Guantanamo. Citadines avec le Son, né à Santiago à l’occasion du carnaval, puis parti à La Havane quand les migrations ouvrières et rurales transformèrent, au début du XXe siècle, le visage de la capitale. C’est au cœur de ces réunions improvisées dans les cours intérieures, les « solares », au milieu des vapeurs de rhum et de tabac, que le célèbre Septeto Nacional, en conclusion, nous transportera. Tarif plein : de 17 à 20€ (selon catégorie) Tarif réduit Odduara/Isaac : 1ère cat. 18€ (- de 25 ans 16€) / 2ème cat. 15 € (- de 25 ans 13€). Offre réservée aux élèves et abonnés de la newsletter d’Odduara, sur présentation de cet e-mail et sur réservation obligatoire au 01 58 71 01 01 (offre limitée de places). Plus d'information sur www.festival-idf.fr ODDUARA - 10, rue Boyer 75020 Paris www.odduara.com - info@odduara.com 08 72 76 60 77